En 1991 et suite à l'aménagement du parc des Hautes-Bruyères, une deuxième fouille après celle de 1988 fut exploitée, livrant un matériel lithique, céramique et faunistique en bon état de conservation. Les restes de mammifères retrouvés dans les différentes structures nous ont permis de reconstituer l'évolution du cheptel ainsi que les nouvelles orientations dans l'économie de production appliquées à des sites de plateau. Parmi les points retenus dans cette étude, citons: la stabilité dans la trilogie chèvre/mouton-boeuf-porc à l'Age du Bronze, une production axée essentiellement vers une alimentation carnée, une réduction des activités de chasse.